victurus in

   - v. l'adv. contente. [st1]1 [-] contentus, a, um: part. passé de contendo. a - tendu, raide. b - qui fait effort pour, ardent, zélé, appliqué fortement.    - funis contentus, Hor.: corde raide.    - contento poplite, Hor.: le jarret tendu.    - contentis corporibus, Cic, Tusc. 2, 54: en tendant les muscles du corps.    - contentissima voce, Apul. M. 4, 10: d'un ton de voix très élevé.    - plaga hoc gravior, quo est missa contentior, Cic. Tusc. 2, 57: coup d'autant plus rude qu'il a été porté avec des muscles plus fortement tendus.    - mens contenta in aliqua re, Lucr. 4, 964: esprit appliqué fortement à qqch. --- alicui rei, Ov. M. 15, 515. [st1]2 [-] contentus, a, um: part. passé de contineo - "qui se tient dans les limites de"; qui se borne à, content de, satisfait de.    - compar. contentiores Plaut. Poen. 460.    - contentus aliqua re: satisfait de qqch.    - contentus suis rebus, Cic.: content de ce qu'on a.    - contentus sua sorte: content de son sort.    - contentus parvo, Cic. Off. 1, 70: content de peu.    - quibus (rhetoribus) non contentus, Cic. Br. 316: ne me contentant pas de ces rhéteurs.    - nec possidendis agris publicis contenti, Liv. 6, 14, 11: et ils ne se contentaient pas d'accaparer les terres de l'état.    - est philosophia paucis contenta judicibus, Cic. Tusc. 2, 4: la philosophie se contente d'un petit nombre de juges.    - avec gén. contentus victoriae. --- Tert. Marc. 5, 11, cf. Scaev. Dig. 32, 37, 4.    - contenti hostes sustinuisse, Vell.: contents d'avoir tenu tête à l'ennemi.    - avec inf. jam fugere contentus, Curt. 4, 10: content désormais de fuir.    - contentus non lacessi, Curt. 4, 12: content de ne pas être attaqué.    - avec prop. inf. Quint. 5, 14, 24 ; Sen. Ep. 58, 6.    - au vocatif o nullā dolor contente poenā, quaere supplicia horrida, incogitata, infanda, Sen. Oet. 295: o douleur que nulle vengeance ne peut satisfaire, invente quelque supplice affreux, inouï, sans exemple.    - (eo) contentus quod: content de ce que.    - eo contentus si: content si. --- Cic. Verr. 1, 3; Tim. 8, Liv. 28, 27, 14 ; [sans eo] Sen. Vit. 17, 4.    - avec ut, ne.    - ne intersimus armis, contentum ait se esse, Liv. 33, 21, 5: il déclare ne demander que notre neutralité.    - hoc contentus ut: content de. --- Sen. Ep. 25, 5 ; Suet. Aug. 82.    - se contentus est, et tamen non viveret, si foret sine homine victurus, Sen.: il se suffit à lui-même, et pourtant il ne vivrait pas s'il devait vivre seul.    - v. l'adv. contente. [st1]1 [-] contentus, a, um: part. passé de contendo. a - tendu, raide. b - qui fait effort pour, ardent, zélé, appliqué fortement.    - funis contentus, Hor.: corde raide.    - contento poplite, Hor.: le jarret tendu.    - contentis corporibus, Cic, Tusc. 2, 54: en tendant les muscles du corps.    - contentissima voce, Apul. M. 4, 10: d'un ton de voix très élevé.    - plaga hoc gravior, quo est missa contentior, Cic. Tusc. 2, 57: coup d'autant plus rude qu'il a été porté avec des muscles plus fortement tendus.    - mens contenta in aliqua re, Lucr. 4, 964: esprit appliqué fortement à qqch. --- alicui rei, Ov. M. 15, 515. [st1]2 [-] contentus, a, um: part. passé de contineo - "qui se tient dans les limites de"; qui se borne à, content de, satisfait de.    - compar. contentiores Plaut. Poen. 460.    - contentus aliqua re: satisfait de qqch.    - contentus suis rebus, Cic.: content de ce qu'on a.    - contentus sua sorte: content de son sort.    - contentus parvo, Cic. Off. 1, 70: content de peu.    - quibus (rhetoribus) non contentus, Cic. Br. 316: ne me contentant pas de ces rhéteurs.    - nec possidendis agris publicis contenti, Liv. 6, 14, 11: et ils ne se contentaient pas d'accaparer les terres de l'état.    - est philosophia paucis contenta judicibus, Cic. Tusc. 2, 4: la philosophie se contente d'un petit nombre de juges.    - avec gén. contentus victoriae. --- Tert. Marc. 5, 11, cf. Scaev. Dig. 32, 37, 4.    - contenti hostes sustinuisse, Vell.: contents d'avoir tenu tête à l'ennemi.    - avec inf. jam fugere contentus, Curt. 4, 10: content désormais de fuir.    - contentus non lacessi, Curt. 4, 12: content de ne pas être attaqué.    - avec prop. inf. Quint. 5, 14, 24 ; Sen. Ep. 58, 6.    - au vocatif o nullā dolor contente poenā, quaere supplicia horrida, incogitata, infanda, Sen. Oet. 295: o douleur que nulle vengeance ne peut satisfaire, invente quelque supplice affreux, inouï, sans exemple.    - (eo) contentus quod: content de ce que.    - eo contentus si: content si. --- Cic. Verr. 1, 3; Tim. 8, Liv. 28, 27, 14 ; [sans eo] Sen. Vit. 17, 4.    - avec ut, ne.    - ne intersimus armis, contentum ait se esse, Liv. 33, 21, 5: il déclare ne demander que notre neutralité.    - hoc contentus ut: content de. --- Sen. Ep. 25, 5 ; Suet. Aug. 82.    - se contentus est, et tamen non viveret, si foret sine homine victurus, Sen.: il se suffit à lui-même, et pourtant il ne vivrait pas s'il devait vivre seul.

gĕnĭus, gĕnĭi, m. [geno]    - Lebaigue P. 541 et P. 542).    - voc. sing. geni Tib. 4, 5, 9.    - voir hors site genius. [st1]1 [-] Génius (dieu qui donnait la vie à toutes choses). [st1]2 [-] génie (dieu propre à chaque personne, à chaque lieu, dieu protecteur qui partage la vie d'une personne, ses fêtes...). [st1]3 [-] le génie (d'une personne) = la personne elle-même; bon génie. [st1]4 [-] bonne chère, gourmandise, plaisir (tout ce que peut procurer le bon génie).    - indulgere genio, Pers. 5, 151, ou genio suo multa bona facere, Plaut. Pers. 263: faire bonne chère, se donner du bon temps.    - genium suum defraudare, Plaut. Aul. 724 ; Ter. Phorm. 44: se priver, se frustrer de tout plaisir. --- cf. Plaut. Truc. 183.    - December geniis acceptus, Ov. F. 3, 58: décembre bien venu des génies.    - sapis ad genium, Plaut. Pers. 108: tu as du goût pour ce qui concerne ton ventre.    - habes nec cor nec genium, Mart. 7, 78, 4: tu n'es ni intelligent ni homme de bonne chère.    - nunc et amico meo prosperabo et genio meo multa bona faciam, Plaut. Pers. 263: et maintenant je vais faire le bonheur de mon ami et [donner beaucoup de bonnes choses à mon génie] = me donner bien du bon temps. [st1]5 [-] génie, bon génie [celui qui fait bonne chère aux parasites].    - Plaut. Cap. 879 ; Curc. 301; Men. 138. [st1]6 [-] génie, talent, valeur.    - victurus genium debet habere liber, Mart. 6, 60, 10: pour vivre un livre doit avoir son génie = sa personnalité [exister vraiment].    - nemo mathematicus genium indemnatus habebit, Juv. 6, 562: un astrologue n'a pas de valeur s'il n'a été condamné. [st1]7 [-] mauvais esprit, démon. --- Tert. Lact. gĕnĭus, gĕnĭi, m. [geno]    - Lebaigue P. 541 et P. 542).    - voc. sing. geni Tib. 4, 5, 9.    - voir hors site genius. [st1]1 [-] Génius (dieu qui donnait la vie à toutes choses). [st1]2 [-] génie (dieu propre à chaque personne, à chaque lieu, dieu protecteur qui partage la vie d'une personne, ses fêtes...). [st1]3 [-] le génie (d'une personne) = la personne elle-même; bon génie. [st1]4 [-] bonne chère, gourmandise, plaisir (tout ce que peut procurer le bon génie).    - indulgere genio, Pers. 5, 151, ou genio suo multa bona facere, Plaut. Pers. 263: faire bonne chère, se donner du bon temps.    - genium suum defraudare, Plaut. Aul. 724 ; Ter. Phorm. 44: se priver, se frustrer de tout plaisir. --- cf. Plaut. Truc. 183.    - December geniis acceptus, Ov. F. 3, 58: décembre bien venu des génies.    - sapis ad genium, Plaut. Pers. 108: tu as du goût pour ce qui concerne ton ventre.    - habes nec cor nec genium, Mart. 7, 78, 4: tu n'es ni intelligent ni homme de bonne chère.    - nunc et amico meo prosperabo et genio meo multa bona faciam, Plaut. Pers. 263: et maintenant je vais faire le bonheur de mon ami et [donner beaucoup de bonnes choses à mon génie] = me donner bien du bon temps. [st1]5 [-] génie, bon génie [celui qui fait bonne chère aux parasites].    - Plaut. Cap. 879 ; Curc. 301; Men. 138. [st1]6 [-] génie, talent, valeur.    - victurus genium debet habere liber, Mart. 6, 60, 10: pour vivre un livre doit avoir son génie = sa personnalité [exister vraiment].    - nemo mathematicus genium indemnatus habebit, Juv. 6, 562: un astrologue n'a pas de valeur s'il n'a été condamné. [st1]7 [-] mauvais esprit, démon. --- Tert. Lact.

genius, iī, m. (geno = gigno), I) der Genius (eig. der »Leben-Erzeugende«) = der über die menschliche Natur waltende Gott, der bei der Erzeugung u. Geburt des Menschen wirkt, als sein Schutzgeist ihn durchs Leben begleitet u. sein Schicksal bestimmt u. selbst nach dem Verscheiden des Menschen in dem Lar fortlebt u. schützend fortwirken kann, s. Censor. 3. Amm. 21, 14, 3. Apul. de deo Socr. 16. Hor. ep. 2, 2, 187 sqq. (u. dazu Orelli): tuus malus genius, Flor. 4, 7, 8. – Wie der Mensch, so hatte auch jeder Ort (Gegend, Wald, Stadt, Haus, Tor), hatte jeder Staat, jede Herde, hatten einzelne Zustände, Eigenschaften u. Verrichtungen ihren Genius, der mit der Existenz des Ortes usw. innig verbunden war, Verg. Aen. 5, 95. Prud. adv. Symm. 2, 369 u. 444 sqq. Auson. Technop. (XXVII) 7. de dis v. 9 (gen. domuum). Iuven. 6, 22 (sacri fulcri). Liv. 21, 62, 9 (v. Genius der Stadt Rom). Mart. 7, 12, 10 (genius Famae): genius publicus (des Staates), Amm. 25, 2, 3: genius praetorii, Corp. inscr. Lat. 2, 2643. – Man bat od. beschwor jemand u. schwor bei seinem eigenen Genius und bei dem geachteter u. werter Personen (Sklaven bei dem G. ihres Herrn, Untertanen bei dem des Herrschers), Plaut. capt. 977. Ter. Andr. 289. Hor. ep. 1, 7, 94. Tibull. 4, 5, 8. Petron. 75, 2. Sen. ep. 12, 2. Suet Cal. 27, 3: Ulp. dig. 12, 2, 13. § 6. – An den Festtagen versöhnte man den Genius durch Blumen u. Wein, genium piare od. placare, Hor. ep. 2, 1, 143 sq.; de art. poët. 210; bes. am Geburtstage durch einen Kuchen (libum), Ov. am. 1, 8, 94: od. durch ein Festmahl u. Wein, Pers. 2, 3 (u. dazu Hauthal). – Dem froh Genießenden ist der Genius hold (albus), den Kopfhängern und aus Geiz sich das Dasein Verkümmernden abhold (ater, sinister), Hor. ep. 2, 2, 187. Pers. 4, 27. – daher war froher Lebensgenuß dem G. ebenso erwünscht als dem Menschen selbst, woher die Redensarten: genio indulgere, »seinen Genius laben« = das Leben durch Frohsinn erheitern und, eingedenk seiner Flüchtigkeit, durch weisen Genuß es verlängern, Pers. 5, 151; vgl. genium curare mero = sich gütlich tun mit usw., Hor. carm. 3, 17, 14: u. so genio suo multa bona facere, seinem G. (= sich) gütlich tun, Plaut. Pers. 263. – aber genium suum defraudare (defrudare), seinen Genius betrügen = sich das Dasein-, sich den Lebensgenuß verkümmern, sich selbst das Nötigste abzwacken, Plaut. aul. 724 G. Lucil. 619. Ter. Phorm. 44; vgl. isti, qui cum geniis suis belligerant, parcipromi, die mit ihrem G. im Kriege liegen, jene Knauser, Plaut. truc. 183 L. – December geniis acceptus, den Genien willkommen (weil man in den Wintermonaten vom Landbau ruhte u. sich gütlich tat), Ov. fast. 3, 58. – ferner sapis ad genium = du hast Geschmack, scheinst Geschmack an guten Bissen zu finden, Plaut. Pers. 108: und so habes nec cor nec genium, weder Verstand noch Sinn für gute Bissen, Mart. 7, 78, 4. – aber victurus genium debet habere liber, muß einen Genius haben = es muß in ihm Anmut, geistvoller Witz (gleichs als Genius) walten, Mart. 6, 7, 10. – u. vom Genius als dem Bestimmer der menschlichen Schicksale, nemo mathematicus genium indemnatus habebit, den Genius der Weissagung (der ihm die Zukunft eröffnet) = Erleuchtung u. richtige Kunde der Zukunft, Iuven. 6, 562. – suum genium propitiare, sich selbst, nicht der Gunst anderer (bes. des Fürsten) alles verdanken, Tac. dial. 9. – Vgl. über den genius übh. Müller-Deecke Etrusker 2, 90 ff. Voß Verg. georg. 1, 302. p. 145 sq. Heß u. Pabst Tac. dial. 9. p. 60 sq. Hauthal Pers. 2, 3. p. 90 sqq. bes. Fr. Aug. Ukert Über Dämonen, Heroen u. Genien (in den Abhandlungen der königl. Sächs. Ges. der Wissensch. 1850. 2. Bd. S. 137 ff.). W. F. Otto in Pauly-Wissowa Realenz. 7, 1155 ff. – II) übtr., v. Gebern frohen Lebensgenusses, des Wohllebens, Gönner, wie die der Schmarotzer, Plaut. capt. 879; Curc. 301; Men. 138. – / Vocat. geni b. Tibull. 4, 5, 9. – Nbf. genium, Ven. Fort. carm. 2, 9, 18 u. 5, 15, 3.

re-vīvo, victūrus, ere, wieder leben, Sen. Med. 477 (479). Paul. Nol. carm. 32, 563.

    suāviter adv. with comp. and sup.    [suavis].— To the senses, sweetly, pleasantly, delightfully: sensibus blandiri: dicere.—Fig., to the mind, agreeably, attractively, delightfully, pleasantly: secunda meminisse: suavissime scriptae litterae: victurus suavius, ac si, etc., H.

immortalis, e; aeternus, a, um; sempiternus, a, um; victurus in aeternum;

I. II. A. 1. 2. B.